mercredi 26 octobre 2011

Harry Potter child forever

gosh, ce blog a subit une crise existentielle girly et il est devenue ROSE! j'avais quoi hier soir? je devais être malade, pas possible, ou est passé mon noir? je suis inquiète sur mon état mental...
enfin, heu, c'est pas pour ça que je faisait un article, je voulais parler d'Harry Potter ♥
Parce qu'il n'y a qu'un livre que je connaisse par coeur à ce point et que je continue de lire encore et encore avec le même plaisir. c'est fou, on minimise trop l'impact d'un livre et de héros sur nos vie. je me considère comme une enfant d'Harry Potter. Comme tout les gosse de ma génération, j'ai grandis avec ces héros là, et ils font partis de ce que je suis. ça fait horriblement pompeux dis comme ça, mais c'était pour expliquer cet article remplis d'images que j'aime sur le trios d'héros de ma vie et sur tout les personnages de ces livres qui ont bercé mon adolescence...


sinon, heu, je tiens à dire que j'ai une passion pour Bellatrix Lestrange...
et, comble de l'horreur, je crois que je commence à apprécier Snape... c'est horrible ...
parce que ouai, avouons le, on aimerais toute que quelqu'un nous aime autant qu'il aimait Lily! puis bon, sa mort elle est pas cool quand même...
 et pour finir en beauté, parce que je fuck les pro twilight...

lundi 24 octobre 2011

New Stuffs

Pages 55 & 56

S’il y a bien quelque chose que j’aime, c’est la mode. Quand je rentre chez moi, avec plein d’achats, je me sens belle. J’ai plus l’impression d’être maigre, ni de pas avoir de seins. Aujourd’hui, j’ai été à Bodreaux. Sous la pluie ♥♥ bon, ok, le shopping sur la pluie c’est pas le mieux, mais quand même ; je suis contente de voir l’automne arrivée ! enfin, bon, ce fut une bonne journée, ou j’ai fait de beau achats.
Un superbe pull qui, zut, n’est évidemment pas sur le site de Zara ! ha si je l’ai, je suis juste pas douée en fait !







Un haut, Zara aussi que je sais pas trop si c’est une chemise ou un tee-shirt… Zara il dit tee-shirt, mais enfin, bon… 







Une écharpe, des gants et une bague de chez six qui n’a pas de site internet, et moi j’ai la flemme de faire des photos…
Des superbes derbies noires chez Bata qui font bien chaussures d’homme belles comme il faut







Et puis… je crois que c’est tout ! ha non, un jolie verni bleu roi aussi ♥ 



Voili voilou !!

Nobody can teach you who you are

on a tous un jour fait ces tests crétins dans la magasines de fille (dont je suis une pure accro je dois avouer) le truc du "dis moi ce que tu manges et je te dirais qui tu es". Pour mon petit cas personnel, ben ça a toujours foiré. Mais voici une version moderne et graphique du truc, qui se rapporte aussi un peu au portrait chinois. Si je devais me décrire à travers quelques images, ça donnerait ça :

 
bon, il faut savoir que durant cette soirée de créations, j'étais de bonne humeur, et pas avec du rock à fond dans les enceintes. Donc, c'est plutôt rose, girly et un peu ... joyeux. Il viendra sans doute un article du même genre avec des icônes plus sombres... Mais ne gâchons pas mes moments de bonne humeur!
Remarque : avec ces images, si vous êtes intelligents, vous pouvez même trouver mon vrai prénom!

Musique : knock 123, Imelda May

dimanche 9 octobre 2011

what if it never gets better?



Demain, j’ai danse. Je devrais m’en réjouir. Comme avant, quand ce soir était le plus attendu de la semaine. Mais je suis arrivée ici en ayant la vague impression de savoir danser. Sans prétention, je savais très bien que je n’avais qu’un modeste niveau. Mais tout de même. Puis je suis arrivée ici, et le premier cour a été comme un horrible coup de massue. Je suis nulle. Incapable de faire la moindre miette des enchainements qu’elles font. Il m’a fallut beaucoup d’effort pour ne pas finir en larme. Je me sentais tellement minable, indigne presque d’avoir été l’élève de Valérie. Puis dans la voiture, je me suis dit que j’y arriverai. Peut importe les difficultés. J’apprendrais. Pour avoir leur niveau. Pour les dépasser. Pour prouver qui je suis et ce que je vaux. Mais des fois, j’oublie. Toute ma bonne volonté et mes bonnes résolutions. Quand 4 fois de suite, je me foire, quand 4 fois de suite la prof me crie ce que je devrais être capable de faire. Alors ce soir, je sais plus si je dois être heureuse d’y aller demain, de passer 1h30 dans mes chaussons à me battre pour tenter d’arriver vaguement à faire quelque chose qui ressemble à ce qu’elles font. Pourtant, sans la danse, moi je ne suis plus rien du tout…
humeur : perdue
musique : going up the country

vendredi 7 octobre 2011

just for once, I want someone to be afraid of losing me

Quand on se dis qu'on va vaoir un blog, un journal, on croit qu'on aura le temps d'écrire dessus ou dedans. Souvent. On se dit déjà qu'on aura plein de truc à raconter sur notre petite vie. Mais en fait, on n'écrit rien, parce que la réalité c'est qu'il ne se passe jamais rien d'extraordinaire dans nos journées. La mienne n'a pas été aussi pourrie qu'on aurait pu l'imaginer être. Il faisait froid, juste comme j'aime, pour contraster avec cette chaleur étrange pour une début octobre. A 11h30, dans le vent et la cour vide, j'ai fais des photos avec mes nouvelles "amies". Nom que je rechigne encore à leur donner, parce qu'il est trop tôt pour s'attacher, parce que mes vraies amies sont loin de moi et qu'il me faudrait deux mots différents pour qualifier les unes et les autres parce que rien ne sera jamais semblable. Ça fait un moment que mon appareil était dans mon sac de cour, car j'ai recommencé, comme lors de mes derniers jours de collégienne, à le promener partout avec moi. Mais ici rien n'attirait mon œil, rien ne me semblait beau dans ce pays étranger. Mais il faut croire que certaines personnes font changer votre regard sur le monde. Peut-être en mettrais-je certaines, de ma jupe volant au vent ou du foulard d'Ophélie voulant lui apprendre la liberté...

dimanche 2 octobre 2011

not just a memory

Il y a des soir où les gens qu'on aime et qui sont partis nous manquent plus que d'autre, parce qu'il suffit de penser à eux pour que la douleur se rallume soudain. Comme une blessure au cœur qui refuse de cicatriser...


Je n’ai pas peur de la mort. Beaucoup de gens veulent se convaincre de cette phrase. Mais pour moi, je crois qu’elle est vraie. Croire, tout est là. En Allah, Dieu ou Bouddha, qu’importe il faut surtout croire en la vie. Savoir qu’elle est belle, qu’il faut en profiter. Mais surtout, qu’elle est parfois trop courte. Pour ne pas avoir peur de sa fin, il faut vivre sans regret. Pour accueillir la mort comme une amie, se dire qu’on a rien loupé. Pour certains aussi, la mort est une délivrance. Morgane croyait en la vie, même si elle s’était souvent égarée. Pourtant, quand elle a glissé dans cette lumière blanche dont elle me parlait parfois, je suis sûre qu’elle n’a pas eu peur. Car Allah sait reconnaitre les siens. Morgane disait que la vie est un cadeau. Elle s’en longtemps battue pour ne pas la laisser s’en aller. Une lente agonie durant laquelle j’aime penser que je l’ai aidé. Que j’ai été présente. Je savais qu’il n’y avait aucun espoir, qu’elle avait « cramé » la vie et en payait le prix. Pourtant, avec elle, je n’étais jamais triste. C’est triste, mais j’avais en quelque sorte déjà fait le deuil de la danseuse qu’elle avait été. Je voulais profiter d’elle encore et jusqu’à la fin. Mis je crois qu’on ne peut pas imaginer à quel point il est dur de ne rien laisser paraitre dans ce genre de période, ne surtout pas montrer à quel point on est mal. Rester joyeuse pour l’aider, lui donner un peu de bonheur. Etre digne du sourire qui apparaissait sur son visage lorsque je poussais la porte de sa chambre. Elle aimait me dire que j’étais bien habillée alors, si futile soit la chose, pour aller la voir je me faisais toujours belle. Même ce dernier jour, quand les médecins ne m’ont pas laissé entrer dans sa chambre. Je me souviens de ce couloir où ils l’avaient mise. Celui pour ceux qui vont mourir. On m’avait souvent dit qu’on ne savait pas si elle allait finir la semaine, mais ce jour là on avait tous conscience que c’était vraiment la fin. Que de l’autre côté de ce mur, elle mourrait. Alors je me suis appuyée contre la cloison, et j’ai essayé de lui donner toute ma force. Et je me suis promise de danser pour elle, de monter sur scène. A l’époque, j’avais refusé, sans toute encore trop inhibée pour dire « oui, je suis danseuse orientale, et alors ? » quelques heures plus tard, Morgane est morte. Elle a emporté avec elle une part de mon insouciance. Mais je sais que quelque part elle est heureuse, et j’ose espérer qu’elle est fière de moi, car cette année j’ai dansé. Dans le costume qu’elle m’a un jour offert…